jeudi 24 janvier 2008

ENSEIGNEMENT DES SPORTS DE RAQUETTES


Nos propositions tentent de concilier deux axes :

I - Permettre a I 'enseignant de transformer Sa pratique en faisant des propositions réalistes et compatibles avec les contraintes actuelles de la profession -

2 - Aborder une famille d activités qui pose des problèmes similaires aux élèves au cours de I apprentissage, ainsi qu aux enseignants dans leur approche didactique et pédagogique, en mettant en place une démarche commune en Tennis - tennis de table - badminton

Dans un souci de clarté, cette approche ne peut se faire sans procéder à un choix terminologique précis et cohérent dans le champ didactique actuel - Nous retiendrons des notions qui nous semblent déboucher sur des avancées réelles au niveau des pratiques enseignantes

DES SAVOIRS FONDAMENTAUX AUX SAVOIRS SPECIFIQUES

La notion de PRINCIPE D’ACTION comme contenus d enseignement amène I enseignant a réfléchir sur les conduites Informationnelles et décisionnelles du joueur qui ont longtemps été délaissés au profit de la forme gestuelle seul, but de l’apprentissage. Les apports nouveaux sur les théories de I apprentissage nous amènent a renverser les priorités en particulier dans I’enseignement des sports de raquettes.

La notion de PRINCIPE OPERATIONNEL OU REGLE D’ÂCTlON (ou technique fondamentale) représente le langage technique commun entre le spécialiste de Tennis, de Badninton ou de Tennis de Table, donc le langage du professeur d’EPS polyvalent – La règle d action représente un moyen concret de réalisation pour le joueur qu'il pourra utiliser dans I' ensemble des sports de raquette

les formes gestuelles utilisées dans chacun des. sports de raquettes relèvent d'une terminologie spécifique propre a chacune de leur didactique
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Source : Académie d'Amien

mardi 22 janvier 2008

Du Savoir nager sécuritaire à la création artistique



Ce document vise a aider l’enseignant non spécialiste face aux élèves débutants et à l’hétérogénéité des groupes . Il doit être capable de les faire évoluer en autonomie et ainsi éviter le un par un en file indienne que l’on observe souvent sur les bassins. En effet, ce type d’intervention sécurise l’enseignant mais ne permet pas un réel apprentissage . Ce qui nous intéresse donc est le rapport quantité de travail/qualité de travail/ projet de l’élève.


Ainsi, il est important dans le projet d’EPS de tout établissement de créer un alignement de classe pour pouvoir emmener plusieurs classes et établir des groupes de niveau . donc c’est dans cette logique que nous allons aborder les différents thèmes suivants.

Sommaire

A. les non nageurs : caractéristiques et test

B. Le parcours aquatique : forme de travail privilégiée

C. L’évaluation

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Source: Académie d'Amien

dimanche 20 janvier 2008

Les Canadiens évaluent modestement leur apparence

La Presse canadienne
Édition du jeudi 03 janvier 2008
Toronto -- En moyenne, les Canadiens se donnent une note de 6,7 sur 10 en ce qui concerne leur apparence physique, selon un sondage La Presse canadienne-Harris-Décima.
Les responsables de l'enquête demandaient aux personnes interrogées d'évaluer leur propre apparence. La note la plus courante est de 7 sur 10 -- une évaluation que partagent 25 % des personnes sondées --, suivie de 5, le choix de 18 % d'entre elles.

Mais une portion non négligeable de Canadiens se trouvent assez beaux pour justifier une cote de 10 sur 10 -- et plusieurs d'entre eux sont des hommes. Selon le sondage, 8 % des personnes interviewées (un millier en tout) se sont attribué la note 10 sur 10 -- et les deux tiers étaient des hommes.

Trente pour cent des Canadiens estiment mériter une note de 8 ou plus. Au Québec, cette proportion grimpe à 35 %, tandis qu'elle chute à 24 % dans les provinces atlantiques. Les Ontariens se situent dans la moyenne nationale.

Dix sur dix

Sur la base de ces données, la maison de sondage estime que plus d'un demi-million de Canadiens s'accorderaient la note de 10 sur 10.

La plupart des gens semblent assez à l'aise avec leur apparence, remarque le président de Harris-Décima, Bruce Anderson, dans un communiqué.

Par ailleurs, le Canadien moyen est plus enclin à donner une meilleure note à son partenaire de vie qu'à lui-même sur le plan de son attrait esthétique, révèle le sondage.

Dix-neuf pour cent des répondants disent que leur partenaire mérite 10 sur 10, et le tiers de ceux qui pensent ainsi sont des femmes. En moyenne, les hommes donnent une note de 8,2 à leur partenaire, les femmes, une note de 7,7, indique le sondage.

Soit les hommes voient la vie en rose, soit les femmes sont plus sévères lorsqu'il est question d'évaluer leur propre apparence et celle de leur partenaire, commente M. Anderson.

Peu de répondants semblent trouver leur apparence inadéquate. À peine 7 % des personnes consultées disent mériter moins de cinq sur 10.

Le sondage a été réalisé entre le 29 novembre et le 2 décembre; il comporte une marge d'erreur n'excédant pas 3,1 points de pourcentage, 19 fois sur 20. La marge d'erreur est plus grande pour les résultats régionaux.

Éducation - Simard s'attaque au décrochage en misant sur l'activité physique

Par Marie-Andrée Chouinard. Journal le Devoir

Le ministre se dit incapable d'ajouter une heure d'éducation physique pour combattre la sédentarité des jeunes
Le règlement du problème de sédentarité des jeunes passe par une augmentation du temps d'enseignement de l'éducation physique à l'école, ce sur quoi le ministre de l'Éducation a pour l'instant les mains liées
S'il affirme voir comme une «priorité» l'ajout de 60 minutes d'éducation physique de plus par semaine à l'école primaire et secondaire, Sylvain Simard croit devoir pour cela convaincre les profs d'augmenter le temps d'enseignement hebdomadaire global, en plus de trouver les 105 millions nécessaires à l'ajout de cette heure additionnelle.

Pourtant, cette «priorité» ne faisait en rien partie des annonces qu'a formulées hier un trio de ministres du cabinet Landry pour «favoriser la pratique d'activités sportives parascolaires en milieux défavorisés» et, par ricochet, diminuer le décrochage scolaire. Plutôt que d'augmenter le temps d'enseignement de l'éducation physique à l'école, Québec choisit d'injecter six millions par année -- sur quatre ans -- vers 225 écoles de milieux défavorisés, encourageant le milieu à composer un programme d'activités parascolaires non obligatoires destinées aux jeunes de l'école.

«Ce qu'ils ont annoncé [hier] matin, ce sont des activités parascolaires, et c'est bien ça le problème, a indiqué en après-midi Yves Potvin, enseignant d'éducation physique et porte-parole du Comité d'action EPS, qui prône un passage du temps d'enseignement de cette discipline de 60 à 120 minutes par semaine. Car les activités parascolaires demeurent facultatives. On n'enseigne pourtant pas le français à l'école en faisant des activités de français parascolaires.»

Le système actuel recommande 60 minutes d'éducation physique par semaine dans un total de 180 minutes par semaine dévolues aux «spécialités», parmi lesquelles le conseil d'établissement de l'école doit parfois faire des choix déchirants.

Il s'agit d'un dossier «prioritaire», concède le ministre Simard, qui rappelle lui-même que des 32 pays de l'OCDE, c'est le Québec qui compte le moins grand nombre d'heures d'enseignement. «Si on recevait du fédéral les correctifs que la commission Séguin évalue à 2,5 milliards, la centaine de millions nécessaires pour ajouter une heure d'éducation physique de plus seraient au-dessus de mes priorités», a expliqué M. Simard hier.

En attendant, le ministre espère que, «via le parascolaire, l'activité physique devienne une habitude de tous les jours», ce à quoi ne souscrit pas l'éducateur Yves Potvin, car «les enfants qui participent aux activités parascolaires sont déjà vendus à la cause, et les autres ne viendront peut-être pas, car ce n'est pas obligatoire».

Côté activité physique chez les jeunes, le diagnostic est pourtant bien sombre, ce à quoi tout le monde souscrit. L'obésité a triplé au cours des 20 dernières années chez les jeunes Québécois, 10 % des 6-16 ans en souffrant, 30 % d'entre eux victimes d'embonpoint. Si 40 % des jeunes de 12-13 ans ne font pas d'activité physique, ce pourcentage augmente à 60 % chez les 15-16 ans, des chiffres préoccupants.

Québec en forme, le programme annoncé hier, vise 225 écoles primaires et secondaires du Québec issues de milieux défavorisés, lesquelles n'ont pas encore été désignées. Les 24 millions nécessaires à sa mise en oeuvre -- sur quatre ans, la moitié est versée par Québec, l'autre par la Fondation Lucie et André Chagnon -- serviront à soutenir l'organisation d'activités parascolaires par l'ensemble du milieu, autour de l'école.

C'est l'escrimeur canadien Jean-Marc Chouinard qui est responsable de Québec en forme, dont le premier projet-pilote sera lancé dans une quinzaine d'écoles de Trois-Rivières en septembre prochain.